C'est le titre de l'enquête Fidal sur laquelle j'ai été interrogée récemment pour le magazine actuel-avocats.fr ici à propos des points relevés par la journaliste Anne Portmann. Cette très intéressante enquête sur la situation des modes alternatifs de réglement des litiges en France a été menée par Isabelle VAUGON, Avocat Associé, FIDAL Direction Internationale Arbitre, Médiateur, Chargée d'enseignement à HEC, Sciences Po et Fidal Formation et Richard NAIMARK, Senior Vice-Président, American Arbitration Association Avec la collaboration de Ricardo Perez-Nückel, Doctorant, ESSEC et PARIS I PANTHEON-SORBONNE, auteur de la thèse « Gestion des conflits par les entreprises : analyse stratégique, juridique et économique de la prévention et de la résolution des différends ». Vianney De Wit, Avocat, FIDAL Direction Internationale Notre consoeur Isabelle Vaugon m'a donné l'autorisation de publier ici cette enquête, qu'elle en soit publiquement chaleureusement remerciée. En effet, il m'apparait essentiel que l'ensemble des confrères s'intéressent de près aux MARC/ADR de près ou de loin dans l'intérêt même de leurs clients pris dans leur ensemble c'est à dire qu'il s'agisse de personnes physiques ou morales. Il faut aussi savoir que cela marche et plutôt bien ailleurs. Pourquoi pas en France ? Le concours des avocats qu'ils soient acteurs, c'est à dire médiateurs eux-mêmes ou partenaires, avocat assistant leurs clients est essentiel pour avancer dans un monde de droit selon la très juste formule du CNB très actuelle à une époque où beaucoup se prétendent "conseils" sans en avoir les compétences requises. Pour comprendre le sens et le contexte de l'enquête, il faut retenir les propos introductifs à savoir notamment qu'en