Il n'est pas facile de faire campagne lorsqu'on a pas l'habitude.
Je n'ai pas l'habitude de changer de comportement,ni de propos parceque je me présente à une election.
Peut être parceque je ne suis pas (heureusement) un habitué des élections.
A la FNUJA,j'étais le seul candidat à la présidence comme les années précédentes aux différents postes occupés au bureau.
Pour le CNB,il s'agissait d'un scrutin de liste sans campagne personnelle.
Pour les élections au conseil de l'ordre de Grenoble,il n'y a pas véritablement de campagne au sens véritable de terme.
Je n'ai jamais fais de politique ni posséder une carte d'un quelquonque parti (mais j'ai toujours voté).
Le problème est que les électeurs peuvent légitimement se demander si durant la campagne electorale vous ne devenez pas soudainement plus symphatique et si les propos que vous tenez proviennent bien du fond de votre coeur et de vos convictions.
Déjeunant Jeudi dernier avec le jeune barreau,j'ai devellopé un argumentaire qui me tient à coeur depuis des années et qui n' jamais varié.Il est très favorable aux jeunes confrères qui m'ont écouté.Mais N'ont ils pas pris ses propos comme des propos de circonstances électorales ?
La fidélité n'est plus une valeure incontestable,ce qui compte ,ce n'est pas votre parcours,vos idées passées, mais ce que vous ferez demain...donc des promesses....
Même chose pour la soirée de l'UJA.Ceux qui me connaissent savent que j'adore la musique et que j'adore danser.Mais le faire à 20 jours d'un scrutin au milieu de mes jeunes confrères ne sera t-il pas jugé electoraliste ? et pourtant je suis entouré de mes amis de toujours,Natacha,cécile,Agnès,Cécile,Eric,Olivier,Arnaud etc...Je méclipse donc à regret à une heure du matin pour ne pas trop en faire
Dur dur la campagne....
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