Si les données sont encodées à l'entrée de la machine sous la responsabilité de celui qui les encode (Tribunal ou avocat ou notaire après tout), les bornes WIFI sont autant de possibilités pour des tiers d'écouter les ports des machines avec un scanner, de détecter les flux d'informations, et, le cas échéant d'agir...
Les réactions en particulier de la CNIL sont nombreuses.
La CNIL préconise également la prudence et cela s'applique au RPVJ.
Il est totalement et techniquement faux de postuler qu'une adresse IP est l'équivalent d'une plaque minéralogique.
Attention aux dérives scientistes qui non seulement sont suceptibles de constituer des transfers de charges mais également peuvent être des vecteurs qui menacent les libertés individuelles.
En france, la loi interdit le cryptage à haut débit pour que la défense nationale soit respectée.
C'est louable.
Au travail internet devient égaement un outil de surveillance.
Il existe des correspondants CNIL qui sont les garants de bonnes pratiques.
Mais dire aux justiciable que la confidentialité existe totalement sur internet et que c'est un gain de temps ce n'est pas affirmer une vérité toute nue!
Il faudrait que des correspondants CNIL soient désignés pour les grands réseaux de communication publiques mettant en jeu la circulation d'informations nominatives sensibles.
Cela permetrait peut être d'offrir aux justiciables un service sécurisé qui ne retiendra pas à vie les questions posées sur des sites d'information gratuits par exemple...
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