Face à une grève nationale prévue d'une grande intensité et qui touche à la fois les transports publics et les administrations, Justice comprise, la question des audiences se posent nécessairement.
Devons-nous y aller, au risque outre le temps de transport, de voir l'affaire reportée du fait de la grève, des transport des uns ou des autres?
Au contraire faut-il solliciter le report, pour éviter une perte de temps inutile et préjudiciable financièrement à tous?
Les reports sont parfois lointains et les affaires, notamment en droit de la famille, revêtent souvent un caractère d'urgence ou du moins un ressenti urgent tant pour les parties que pour les enfants, tant l'attente judiciaire peut-être douloureusement ressentie.
C'est donc au cas par cas, en fonction des impératifs des clients, des avocats adverses, des magistrats et greffiers (si tant est qu'ils le fassent savoir), qu'il faut réagir.
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