Ode à la cour dans une chambre froide
Par Carole GHIBAUDO
Ce matin il pleut, un peu. Une seule voie s'offre à moi, celle de rejoindre ma chambre. Elle porte le numéro 11. Éclairée à la seule lumière des néons, elle est sombre(*). Aucune lueur naturelle ne filtre au travers de la porte pourtant restée entrouverte pour attirer le chaland. Je perçois des ombres noires, qui s'agitent, se bousculent dans ce lieu ... Lire la suite >