Il était une fois une profession réglementée. Alors que celle-ci avait jadis bénéficié d’une aura certaine et de condition d’existence plus que favorable, elle était désormais considérée comme un bandit de grand chemin. Tel un loup, elle était traquée par ces mêmes fossoyeurs qui en tiraient profit, par ceux-là même qui criaient au loup lorsqu’ils étaient entrain d’égorger leurs brebis.
Et cela se manifestait inlassablement tout au long de cette vie, du premier jour de la naissance jusqu’au dernier soupir, du premier jour du mois jusques au dernier, un recommencement sans lueur d’espoir ni légèreté.
Nul droit au répit, au repos du guerrier, à l’expiration avant le bol d’air frais.
Reste le petit rat dans sa triste roue et son terrible quotidien :
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