Après avoir relevé que l’employeur avait renoncé unilatéralement à la clause de non-concurrence mentionnée au contrat de travail alors qu’une telle possibilité n’était pas prévue par ladite clause, la cour de cassation valide l’analyse de la cour d’appel qui a retenu :

- l’inopposabilité de la renonciation par l’employeur

- et à défaut de contrepartie financière de la clause, la réparation du préjudice du salarié par l’allocation d’une somme à titre de dommages-intérêts.

 

Cass. soc. 29-3-2017 n° 15-27.078

 

Jean-philippe SCHMITT

Avocat à DIJON (21)

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