Un chien victime s'est, selon la presse, retrouvé comme partie civile assistant au procès de ses bourreaux.
Selon le Figaro:
"Il s'appelle Mambo et sa notoriété frise celle de Lassie, Rantanplan ou Rintintin. Pourtant, ce toutou au poil brun n'est pas le héros canin d'une fiction pour enfants. C'est une victime. Il assistait mardi à Perpignan, encore couvert de bandages, au procès d'un de ses «bourreaux» où 200 personnes se pressaient."
Formidable occasion de parler des violences domestiques.
Des collectifs, une " justice pour Mamboo" se sont liés pour que le procès ait lieu et que l'animal devienne un sujet de droit et non plus un objet.
Mais quand même, il y a des maltraitances à enfants, à conjoints qui se passent dans l'intimité des huis clos, dans l'anonymat des classements, des postes de police, des cabinets, il y a des misères ordinaires qui auraient peut être aussi besoin de venir à la connaissance de ce que mon confrère Vergès compare au coeur de la tragédie antique: l'opinion!
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