Toute personne peut malheureusement, un jour ou l’autre, être victime d’une atteinte à son intégrité physique ou psychique suite à un accident ou une agression.

Cette atteinte peut résulter aussi bien de violences portées par un agresseur mais aussi provenir d’un accident de la route, d'un accident du travail, d'un accident médical ou même d'un simple accident de la vie.

Touchant à la sécurité et à l’intégrité même de la personne, le droit du dommage corporel est un droit fondamental de notre société. Aussi complexe puisse-t-il paraître aux yeux des victimes, il est nécessaire pour légitimer une juste réparation des préjudices subis de se faire assister.

Ainsi, l’application du droit du dommage corporel permet à la victime et à ses proches, d’obtenir une réparation de l’ensemble des préjudices corporels et psychiques consécutifs à un fait dommageable.

Sur le plan juridique, le droit du dommage corporel réunit parallèlement différents domaines : droit de la responsabilité civile, droit des assurances, droit de la santé, droit social, droit pénal, droit administratif, droit de la sécurité sociale… Cette hétérogénéité de régimes juridiques fait partie du quotidien de l’avocat de victimes, l’obligeant à passer d’un régime à l’autre en fonction de la nature des dossiers soumis.

Outre les compétences juridiques et les valeurs essentielles à la profession d’avocat, ce domaine du droit impose une nécessaire compréhension de termes médico-légaux. Il exige également de l’avocat une connaissance technique propre permettant la qualification et l’évaluation monétaire de différents postes de préjudices qui auront été constatés et évalués par les médecins experts.

Aussi, si chaque dossier en indemnisation du dommage corporel impose nécessairement une évaluation médicale des préjudices de la victime (expertise médicale), il nécessite également une expertise par un technicien du droit permettant de déterminer le droit applicable, les voies de recours les plus adaptées au cas d’espèce et permettant la meilleure indemnisation possible.

En effet, différents systèmes d’indemnisation pourront être mis en œuvre soit en faisant jouer des garanties contractuelles (par exemple avec une «  garantie accidents de la vie » dans le cadre des accidents de la vie ou avec une « garantie conducteur » pour un conducteur responsable de son accident de la circulation) soit par un régime propre applicable au fait générateur de l’accident (par exemple : en application de la loi dite « Badinter » du 5 juillet 1985 pour les victimes d’accident de la circulation autres que les conducteurs-responsables, en application de la loi « Kouchner » du 4 mars 2002 en matière d’accidents médicaux…)

Chaque dossier doit faire l’objet d’une étude approfondie et personnalisée afin d’aboutir à une évaluation individualisée du dossier permettant à la victime d’obtenir une réparation intégrale des préjudices subis mais aussi, dans certains cas des préjudices subis également par ses proches (victimes dites « par ricochet ») ou par ses ayants-droit en cas de décès.

L’analyse experte d’un avocat qui consacre exclusivement son activité à la réparation du préjudice corporel, et au service des victimes d’accidents ou d’agressions, rompu à la pratique de l’indemnisation, assure aux victimes et à ses proches la garantie d’une assistance adaptée tout au long de la procédure d’indemnisation.

L’accompagnement de la victime est essentiel pour la constitution du dossier et en particulier lors de l’expertise médicale. Cette dernière sera en effet déterminante dans le chiffrage de l’indemnisation suscitée par le dommage corporel subi.

L’assistance d’un avocat va assurer à la victime la prise en compte de l’ensemble de ses souffrances et doléances pour permettre une juste indemnisation. Il fera également prévaloir l’ensemble des préjudices pour l’avenir lui permettant de vivre décemment. Il s’agira notamment de pallier au mieux à la perte de revenus mais aussi à la perte d’autonomie de la victime.

Cette assistance est indispensable dans le cadre de toute procédure judiciaire mais aussi lorsqu’elle est initiée à l’amiable par un assureur qui connait parfaitement les rouages de l’indemnisation au détriment de la victime souvent profane en la matière. Cela permet d’éviter d’être « victime deux fois », une première fois lors de son accident et, une seconde fois, par une mauvaise transaction indemnitaire.

Le cabinet de Maître Carla GEROLAMI intervient essentiellement en Droit du dommage corporel pour défendre exclusivement les victimes d'accident ou d’agression. Titulaire d'un DIU en "évaluation des traumatisés crâniens", elle met également ses compétences spécifiques au service des victimes de traumatisme crânien.

Maître Carla GEROLAMI, avocat dommage corporel, peut vous recevoir à son cabinet en Seine et Marne (77) et peut intervenir sur toute la France. Un premier entretien permettra de confirmer votre droit à indemnisation et proposer une prise en charge adaptée à votre dossier.