La Cour de cassation dynamite la sécurité des créanciers : désormais, même une décision passée en force de chose jugée ne barre pas la route à l’examen d’office des clauses abusives. Décryptage d’un revirement lourd de conséquences pour les professionnels du contentieux et du recouvrement.
Civ2, 12 juin 2025 n°22-22.946
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