Oui, et c’est parfaitement légal.

Il y a encore quelques années, l’idée paraissait saugrenue. Le Bitcoin traînait une image sulfureuse : monnaie des trafiquants, des hackers, des transactions occultes. Pourtant, derrière les clichés, il y a une technologie solide : la blockchain, un registre infalsifiable qui permet d’échanger de la valeur directement, sans passer par une banque.

En France, rien n’interdit de régler un avocat en cryptomonnaie. Il suffit que :

  • le mode de paiement soit prévu dans la convention d’honoraires,

  • le montant soit fixé selon le taux de conversion du jour,

  • l’avocat dispose d’un portefeuille numérique (wallet).

Reste à savoir si vous trouverez un avocat qui accepte. Certains, comme moi, y voient un pont entre le monde du droit et celui du numérique. D’autres préfèrent rester au virement classique.

Pour comprendre comment ça marche et ce que ça change, je détaille tout ici : Cryptomonnaie : peut-on payer son avocat en Bitcoin ?