Découvrir un défaut important après avoir acheté un bien (maison, véhicule, matériel…) peut être source d’inquiétude. Pourtant, la loi protège l’acheteur contre les vices cachés : si le défaut existait avant la vente, n’était pas apparent et rend le bien impropre à l’usage, des recours sont possibles.
L’essentiel à savoir :
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Vous pouvez demander l’annulation de la vente, une réduction du prix, voire une indemnisation si le vendeur était de mauvaise foi.
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Les délais sont stricts : il faut agir dans les deux ans suivant la découverte du vice, et il est important de réunir des preuves (expertise, courriers…).
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Même si le vendeur n’est pas un professionnel, il reste responsable du vice caché, sauf clause d’exclusion, inopérante en cas de mauvaise foi.
Conseil :
- Faites-vous accompagner par un avocat dès la découverte du vice, pour préserver vos droits et choisir la meilleure stratégie (négociation, expertise, procédure…).
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