Quelques chiffres et informations, glanés tout au long d'un rapport sur le développement de la legaltech au Royaume Uni, téléchargeable à l'adresse http://images.info.legalsolutions.thomsonreuters.co.uk/Web/ThomsonReutersLegalUKI/%7Baf1da23c-b7df-4a13-9351-c73781d2f5dc%7D_Movers_and_Shakers_UK_Lawtech_Start-ups.pdf

  • 46% des CEO des legal start-up sont des anciens avocats
  • 16 Millions $ levés

En prime, une excellente représentation graphique de la legaltech au Royaume Uni.

Comme on le sait, aux USA, ce sont les juges qui décident de la déontologie des avocats. A lire, l'analyse du New Jersey Supreme Court's Advisory Committee on Professional Ethics, Committee on Attorney Advertising and the Committee on the Unauthorized Practice of Law, sur le fonctionnement des sites Avvo, LegalZoom et Rocket Lawyer. Conclusion de la Cour Suprême ( ACPE 732 Avvo, LegalZoom, Rocket Lawyer 6.21.17) : les avocats ne doivent pas participer aux services du site Avvo, car ce serait se livrer à un partage d'honoraires prohibé.

Le discours du Master of the Rolls (deuxième magistrat du royaume), sur la juridiction civile du futur. Disons que ça décoiffe davantage que "justice du XXIème siècle" slynn-lecture-mr-civil-court-of-the-future-20170615