Dans les cas de garde alternée qui impliquent en général domicile proches, dialogue et confiance mutuelle entre les parents il n’y a pas de problème 

Par contre lorsque la résidence de l’enfant est fixée à titre habituel chez un parent et que l’autre vit à distance et qu’il n’y a pas d’entente possible la question des prochaines vacances  va vite se poser 

Le décret vise 

□ déplacements pour motif familial impérieux, pour l’assistance aux personnes vulnérables ou la garde d’enfants 

 La situation de l’enfant a été fixée au nom de  « son intérêt » et en vertu d’une décision prise par un juge qui était bien loin d’imaginer dans quelles circonstances exceptionnelles on allait pouvoir se retrouver.  Des lors et en quoi le droit de visite d’un parent constituerait « un motif impérieux » ?  Il ne s’agit pas d’une question de survie comme peut l’être la nécessité d’apporter de l’aide aux personnes âgées isolées  Tant qu’on me dit que ce foutu virus est transmissible par des personnes asymptomatiques il me semble totalement déraisonnable de faire subir des longues distances en voiture à un enfant qui risque de contaminer ailleurs ou de revenir contaminer le parent qui en a la garde Autant permettre aux familles d’aller passer des week-ends ou des vacances dans leur résidence secondaire .... Il appartiendra à la justice de tirer les conséquences des abus de certains parents Bien évidemment s’il y a une entente c’est parfait mais dans les cas litigieux c’est absurde et dangereux et je vois très mal la police accepter des dépôts de plainte dans une période où CHACUN DOIT RESTER CHEZ SOIT