Le juge orléannais à conlu que "La maladie professionnelle dont était atteint Jean-François Cloix ayant entraîné son décès est la conséquence d'une faute inexcusable de la société EDF".

Cet décision est intéressante dans la mesure où pour la première fois, il est reconnu qu'il n'y a pas de seuil de radioactivité en dessous duquel l'exposition, meêm faible, n'est pas dangereuse pour la santé humaine.

Affaire à suivre puisque EDF a interjeté appel.