Ce sont les échos du 17 août ici qui renvoient à une étude ici. Cette étude souligne les difficultés d'évaluation déjà soulignées sur ce blog puisque seules les association subventionnées sont dans l'obligation de produire leurs statistiques. En outre, comme ces associations agissent sur d'autres activitées qu'elles ont souvent à titre principal, il n'est pas du tout certain que ce soit fiable. Il avait déjà été observé qu'une désignation judiciaire en médiation était retenue comme une médiation. Or, les parties ne se présentent pas toujours ou restent au stade de l'information car il y a parfois des médiations ordonnées sans vrai consentement des parties qui n'osent pas dire non à un juge. Certains en ordonnent peu ou rarement, d'autres excessivement. Cette étude ne concerne que la médiation familiale, ce qui est réducteur. Si on parle de mettre en place un observatoire de la médiation, il n'est pas non plus certain que les médiations soient répertoriées pour des motifs de confidentialité particulièrement dans le cadre des conflits entreprise.