Sous le poids conjugué de la technologie et de la loi, les banques françaises voient leur silence et leur inertie sanctionnés : face à l’explosion des fraudes par spoofing, la Cour d’appel de Paris leur rappelle brutalement que refuser de rembourser leurs clients équivaut à cautionner l’escroquerie. Il ne suffit plus de se cacher derrière la « négligence grave » : désormais, c’est la carence sécuritaire des établissements qui leur coûtera le plus cher.

 

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