La Cour d'Appel de Versailles a rappelé ce principe jurisprudentiel constant en matière de divorce dans un arrêt rendu le 17 mars 2016.
En l'espèce, la Cour rappelle le devoir de fidélité figurant au code civil. Selon elle, rien ne justifie le manquement à ce devoir. Pas même l'érosion des sentiments ou la lassitude de l'époux, même si son épouse a eu un comportement excessif et préjudiciable.
Selon la Cour, il pouvait mettre fin à son union en utilisant les voies légales.
En revanche, il n'était nullement autorisé à engager une relation intime sans que le divorce ne soit prononcé.