Face aux défis du vieillissement et de la dépendance, l'habitat partagé se présente comme une alternative prometteuse pour les personnes atteintes de maladies neuro-évolutives (Alzheimer, Parkinson, etc.). Ce mode d'hébergement collectif, encadré par la loi ELAN, permet de vivre ensemble tout en conservant son espace privé, offrant ainsi un juste équilibre entre vie sociale et intimité.
Pourquoi l'habitat partagé est-il particulièrement adapté aux personnes atteintes de maladies neuro-évolutives ?
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Un accompagnement sur mesure: L'habitat partagé permet de mettre en place un accompagnement personnalisé, adapté aux besoins spécifiques de chaque personne, favorisant ainsi leur autonomie et leur bien-être.
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Rompre l'isolement: La vie en communauté stimule les interactions sociales et permet de lutter contre l'isolement, un facteur aggravant pour les personnes atteintes de maladies neuro-évolutives.
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Un environnement sécurisant: L'habitat partagé offre un cadre de vie sécurisant et adapté, permettant aux personnes de vivre "comme à la maison" tout en bénéficiant d'un soutien au quotidien.
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Préserver les droits fondamentaux: Ce modèle d'habitat respecte la liberté de choix et l'autodétermination des personnes, des éléments essentiels pour préserver leur dignité.
L'habitat partagé, une solution d'avenir
L'habitat partagé est une solution d'avenir pour améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de maladies neuro-évolutives. Il permet de :
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Favoriser le maintien à domicile dans un environnement adapté.
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Offrir une alternative aux Ehpad, parfois perçus comme impersonnels.
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Soutenir les aidants familiaux en leur offrant un relais.
Claudia CANINI Avocat Droit des majeurs protégés www.canini-avocat.com
Sources : Habitat Partagé & Maladie d’Alzheimer
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