La CEDH par un arret du 6 septembre 2018 a jugé que le placement d'un enfant ne peut être que provisoire.

La même cour a jugé que l'exercice du droit de visite ne peut être laissé à la discrétion d'un seul parent en l'espèce la mère.

La Cour de Cassation par arrêt du 4 juillet 2018 a jugé que les difficultés relationnelles persistantes entre le père et la sa fille se traduisant par le refus de la mineure de lui parler et l'atitude inadaptée du père qui tient des propos dénigrants en vers la mère et fait pression sur l'enfant en lui iaissant entendre qu'il pourrait en obtenir la garde , il ets de l'interet de l'enfnat de ne pas le contraintre vu son age à poursuivre des rencontres en lieu neutre car il s'agit de motifs graves  justifiant la suppression du droit de visite du père.

Maitre TOUREL avocat au Barreau de NIMES spécialiste en droit de la famille, des personnes et leur patrimoine vous accompagnera dans toutes procédures.