Un couple se sépare et la mère et les enfants partent vivre chez la grand-mère maternelle.

Un juge finit par fixer la résidence des enfants chez le père et accorde à la mère un droit de visite tous les mercredis au domicile de la grand-mère maternelle.

Faisant valoir qu’elle ne dispose pas, dans cette nouvelle organisation, d’un droit autonome qui lui permettrait de partager du temps avec ses petits-enfants, la grand-mère saisit à nouveau la justice.

 

Les juges, sensibles à sa démarche, lui accorde un droit d'hébergement d’une semaine en juillet et d’une semaine en août, de deux jours pendant les vacances de Noël et deux jours pendant les vacances de Pâques. Cour d’appel de Nancy, 3ème chambre civile, 15 mai 2017, RG n° 17-01027