Si d’aucuns attrapent des coups de soleil, d’autres les mouches en bâillant, moi j’ai attrapé la cyclothymie du jugement en plaidant.
Elle se décline en cyclothymie de l’arrêt mais celle-ci se manifeste à un stade plus ou moins concentré de l’émotivité selon que l’on a plus ou moins bien réagi à la cyclothymie du jugement.
La suite sur le blog de Carole GHIBAUDO
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