Les pensions alimentaires, versées pour l’enfant, sont au cœur d’enjeux, parfois conflictuels, entre les parents. La raison est simple : la contribution alimentaire est souvent mal comprise.
En effet, le parent débiteur (celui qui doit verser la contribution) estime souvent que cette dernière est trop élevée voire qu’elle est une source d’enrichissement « sans cause » au profit de l’autre parent. Quant au parent créancier (celui qui perçoit la contribution), il considère régulièrement que l’autre parent n’a pas pleinement conscience de l’importance des frais nécessaires pour couvrir toutes les dépenses de l’enfant commun.
Or, les grilles de calcul actuelles ne sont pas satisfaisantes : elles ne prennent en considération ni le coût précis de l’enfant (activités, mode de vie, frais d’hébergement…), ni le temps passé par l’enfant chez chacun de ses parents, ni les ressources du parent créancier...
Il était donc indispensable de réfléchir à un autre tableau, permettant des simulations et des calculs plus fiable et plus précis. C’est ce qu’a fait mon cabinet avec cette méthode dite « Régent & Coz ».
Pas de contribution, soyez le premier