L'adultère reste, sur le plan moral, une cause évidente de rupture. Il a cessé d'être une cause péremptoire de divorce, quand bien même i) l'obligation de fidélité demeure jusqu'au prononcé du divorce, ii) l'adultère fournit encore une cause au divorce. 

Mais qu'en est-il de la preuve de l'adultère ? Le constat d'adultère est-il une preuve efficace, mais encore utile à l'heure des réseaux sociaux, et de l'affichage “virtuel”, parfois imprudent ? 

 

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