Le procès de France Télécom a offert une médiatisation à des drames personnels et familiaux survenus il y a dizaine d'années environ.
Les agriculteurs mais surtout les personnels de santé et les policiers sont les professions aujourd'hui les plus touchées.
Suite à un suicide, les proches (conjoint, enfants, parents, voire collègues) auront certainement besoin d’un accompagnement psychothérapeutique.
Conformément à la loi, l’employeur devra adopter des mesures afin d'assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale de ses employés.
Les ayants droit pourront également vouloir faire reconnaitre le suicide en accident du travail et devront agir dans les 2 ans du drame. Ils pourront demander à l’employeur de déclarer le suicide en accident du travail avec le risque qu'il prétende que ce geste trouve sa cause dans des difficultés d’ordre personnel.
Il est toutefois possible d’obtenir un résultat positif. Après plusieurs mois, ma cliente et moi avons réussi à obtenir la reconnaissance du suicide de son mari en accident du travail.
Sur le plan personnel, la décision de la CPAM a soulagé la veuve sur le geste désespéré de son mari défunt. Sur le plan financier, son préjudice a été indemnisé par la CPAM. Une majoration pourra également survenir à son profit si une faute inexcusable de l'employeur devait être reconnue.
Un tel dossier pourra également revêtir un caractère pénal.
Dans ce domaine comme dans d’autres, l'assistance d'un conseil, voire même d'action pluridisciplinaire, sera un plus au bénéfice du client. Le Cabinet ARTESIA à Paris pourra vous assister.
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