A l'incitation du gouvernement on commence à voir fleurir les offres pour une assurance des données immatérielles des entreprises avec une offre en direction des PME ainsi qu’une réflexion sur un concept nommé en France « Big Data ». L’entreprise qui confie ses données à un serveur externe prend le risque qu’elles soient lues par des tiers. Ce risque est d’ailleurs parfaitement décrit dans les conditions de stockage… De même le fait de laisser ses codes de carte bleue en ligne n’est pas exempt de risques. C’est pourquoi les banques indemnisent quasiment à première demande. En conséquence on comprend la réserve des compagnies d’assurances lorsqu’après avoir montré le coût des cyber attaques et investi, indiquent « D’autant que « nous ne trouvons pas beaucoup de réassurance pour le cyber-risk » Les méthodes devront pour notre avis être simples, efficaces et rationalisées : élaboration de chartes, de normes, de règles de bonne conduite, créations de sites « sécurisés »… Reste à savoir si les processus d’identification des connexions resteront satisfaisants. Sur Internet la seule manière de vérifier une transaction ou la validité d’un profil reste le contact physique. Pour notre point de vue, les solutions existent, aussi anciennes que la bureautique et le traitement administratif, mais supposent que les acteurs, achetteur et ventdeur soient toujours joignables et identifiables dans le pays dans lequel se passe la transaction. Internet devient moins attrayant ! Pas certain que les politiques soient aussi volontaristes en France que dans d'autres pays qui imposent leur souveraineté aux acteurs sur internet...