Dans la position de Mme Alliot Marie qui déclare: "...Je ne vois qu'avantages à disposer d'un lieu d'échange entre spécialistes et membres de la société civile sur toutes les questions liées aux fichiers de police.

Composé de policiers, gendarmes, magistrats, avocats, responsables syndicaux et associatifs, représentants d'autorités administrative indépendantes, votre groupe permettra de les informer en permanence de l'avancement de nos projets. Il s'agira ainsi d'éviter les polémiques infondées.

Bien sûr, le groupe de travail n'a pas vocation à se substituer à la CNIL dont les missions sont clairement définies. Mais il pourra activement contribuer au suivi des décisions que je rendrai publiques après étude approfondie de votre rapport."

La sécurité et la liberté vont de pair.

La centralisation des informations est dangereuse, il n'en est pas question et la CNIL demeure: Ouf!