Vu par la pratique, le blog "précisément.org" offre une synthése des questions que pose la mise en place "à marche forcée du Réseau Privé Virtuel".

Sans partager l'ensemble des positions, il me semble que la réflexion est intéressante.

Question principale: qui assure les "loupés" dans la communication électronique?

Question subsidiaire comment faire que cela fontionne sans l'ensemble des avocats?

Ebauches de réponses:

- Certainement les avocats, quelle incidence sur les primes en cas de significations ratées etc...?

- Oups, le service public de la justice est pour l'instant fonctionne avec l'ensemble des parties.

Il ne faut pas oublier que tous n'ont pas la pratique de l'internet, ni les personnes pour faire fonctionner...

Alors, à quand une grande formation nationale et gratuite à la nouvelle procédure?

A quand un intranet partagé avec l'intranet de la justice?

A quand une borne unique dans les ordres qui dispache l'information automatiquement aux cabinets inscrits, sans clé USB ni manipulations complexes?

L'avis selon lequel internet permet déjà une communication cryptée dans les limites autorisées par la loi française (moyen débit) sans qu'il soit besoin de faire payer trés cher les individuels pour un service public n'est pas totalement dénué de sens.