En principe, c'est souvent vainement, que le praticien triomphe à invoquer la négligence du patient, dès lors que la faute médicale est avérée.
Cependant, par arrêt en date du 13 juin 2013, la Cour Administrative d'Appel de Nancy, a retenu un partage de responsabilité, en retenant que la victime « qui n'avait pas respecté les consignes strictes d'immobilisation des doigts, préconisées par le chirurgien, a concouru à 60% à son préjudice ». (Cour Adm. d'Appel de Nancy, 13 juin 2013 n° 12 NC 01478).
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