Avant de prescrire un traitement, un médecin examine son patient pour établir un diagnostic. Plutôt simple, non ?

Et bien c’est exactement pareil lorsqu’on veut démarrer sa mise en conformité au RGPD :

  1. On réalise un audit – l’examen – pour connaître le niveau de maturité de son organisation.
  2. A partir de cet examen, on établit un diagnostic, nommé « cartographie des traitements » dans le jargon. Autrement dit, un état des lieux des données personnelles utilisées dans l’organisation, des flux associés, etc.
  3. Ensuite on prescrit un traitement, à savoir établir un plan d’actions prioritaires.
  4. Et on passe à l’action ! En se faisant accompagner par un DPO (data protection officer) pour orchestrer tout cela.

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