Le divorce par consentement mutuel ne doit pas faire abstraction de l'équité et la signature d'une convention de divorce par consentement mutuel n'oblige pas au renoncement à l'intégralité de ses intérêts par l'une des parties.

Depuis le 1er janvier 2017, la procédure de divorce par consentement mutuel n'est plus engagée devant le Juge aux Affaires Familiales. Elle est diligentée par avocats interposés, chacun des époux étant tenu de choisir son conseil; Puis la convention de divorce est enregistrée par un notaire, qui lui confère ainsi force exécutoire. 

Le divorce par consentement mutuel, aussi prompt soit-il eu égard à la procédure de divorce contentieuse, ne doit pas pour autant participer d'un rapport de forces aboutissant au renoncement de l'une des parties à l'intégralité de ses propres intérêts. Accord ne signifie pas "soumission" ou déni de la réalité.

Dans ce cadre, Maître RIGAL MEYER appréhende les dispositions psychologiques de chacune des parties afin d'envisager une convention respectueuse de leurs droits et de leurs intérêts.

L'intérêt des enfants est également une valeur prédominante et les modalités de garde sont détaillées dans la convention de divorce; Ces dernières doivent garantir leur équilibre psychologique et affectif.