Une cour d'appel a pu estimer que le salarié n'étayait pas sa demande de rappel d'heures supplémentaires dès lors qu'elle avait relevé que les fiches de temps manuscrites produites par l'intéressé à l'appui de sa demande, comportant certaines informations dont l'employeur avait établi le caractère erroné, n'étaient pas de nature à permettre à ce dernier de répondre en fournissant ses propres éléments.


(Cass. soc. 7-12-2016 n° 15-20.502 F-D)