La Cour de Cassation a donné un bon coup de main aux copropriétaires, en déclarant que l'interruption de la prescription au bénéfice du Syndicat des copropriétaires, profite à chacun des copropriétaires, pour le préjudice subi sur les lots privatifs.

Cette décision doit être saluée, car le préjudice sur les parties communes, et les parties privatives, est intimement lié.

Ainsi, le copropriétaire bénéficie des mêmes conditions que le Syndicat des copropriétaires, pour agir contre le constructeur, pour le préjudice causé aux parties privatives par le même vice de construction qui affecte les parties communes. (Cas. 3ème Ch. Civ. 4 avril 2013 - JurisData n° 2013 - 006528).