Internet est un formidable outil, mais, il peut se révéler dangereux dans certains cas.

Ici, un locataire sous-louait l’appartement dont il était locataire.
Le bailleur a pu le confondre, en apportant la preuve de la sous-location contestée, par la production de l’annonce publiée sur internet, sur un site spécialisé en location immobilière (CA Paris, 15 mars 2016 – RG n° 14/18198).