Et la suite ...
PARTIE 4 RESPONSABILITÉS DÉLICTUELLES DES CONSTRUCTEURS 3
Chapitre 1. L'ACTION DÉLICTUELLE DES TIERS À L'ACTE DE CONSTRUCTION 3
Section 1. L'ACTION DÉLICTUELLE DES TIERS EXTÉRIEURS À L'OUVRAGE 3
| § 1| Aperçus sur la réparation des dommages de travaux publics 3
I. Dommage causé à un participant au travail public 3
II. Dommage causé à un usager de l'ouvrage public 3
III. Dommage causé à un tiers, non-usager de l'ouvrage ni participant au travail public 3
| § 2| Droit privé 3
I. Les troubles de voisinage provenant d'un «empiétement» ou de nuisances : la thèse classique 3
A. Nuisances dues à des activités professionnelles (cas de la pré-occupation) 3
B. Atteinte au droit de propriété, violation d'une règle d'urbanisme 3
1. Atteinte au droit de propriété : empiétement 3
i. Obligation de démolition et de remise en état en tout état de cause (jurisprudence constante) 3
ii. L'empiétement sur la propriété d'autrui suffit seul à caractériser la faute. 3
iii. Absence d'abus de droit 3
iv. Personnes tenues 3
v. Tempérament 3
2. Violation d'une règle d'urbanisme ou d'un cahier de charges de lotissement 3
i. Violation d'une disposition d'un cahier des charges d'un lotissement et du règlement 3
ii. Violation d'une règle d'urbanisme 3
II. La réparation des troubles de voisinage dus au simple fait de construire 3
A. Les articles 1382 et 1383 (jurisprudence latente) 3
B. L'article 1384 § 1 3
C. L'article 1386 3
D. L'application par la Cour suprême de la théorie des inconvénients anormaux de voisinage et évolution jurisprudentielle dans le domaine de la construction 3
1. Application de la théorie des inconvénients anormaux de voisinage à l'égard de maître de l'ouvrage 3
2. Application de la théorie des inconvénients anormaux de voisinage par extension à l'égard des constructeurs 3
i. Application du principe de responsabilité à l'entrepreneur «voisin occasionnel» auteur de dommages matériels 3
ii. L'entrepreneur, un temps considéré comme «voisin occasionnel » par la jurisprudence 3
iii. Nuance apportée à la jurisprudence faisant de l'entrepreneur un «voisin occasionnel» : nécessité d'établir d'une relation de causalité directe. 3
3. Recours du maître de l'ouvrage 3
i. Action récursoire du maître de l'ouvrage avant indemnisation du voisin 3
ii. Action récursoire du maître de l'ouvrage après indemnisation du voisin 3
E. Illustrations concrètes de la mise en oeuvre de ce régime de réparation des troubles de voisinage 3
F. Régime de la réparation des troubles de voisinage 3
G. Les propositions de réforme du régime des troubles de voisinage 3
III. Le référé préventif 3
A. Principes 3
B. Modalités 3
C. Sanctions de l'absence de référé préventif 3
D. « Tour d'échelle » 3
Section 2. L'ACTION DÉLICTUELLE DES TIERS « DANS L'OUVRAGE » 3
| § 1| Le locataire simple 3
| § 2| Le locataire attributaire 3
Chapitre 2. L'ACTION DÉLICTUELLE DES PARTICIPANTS À L'ACTE DE CONSTRUCTION 3
Section 1. L'ACTION DÉLICTUELLE DES PARTICIPANTS À L'ACTE DE CONSTRUCTION, TIERS ENTRE EUX 3
| § 1| Relations délictuelles (et autres...) entre participants à l'acte de construire 3
I. Droit privé 3
A. Difficultés liées à la détermination du fondement juridique du recours et à ses modalités d'exercice 3
1. Cas de l'action ou du recours des participants «tiers» entre eux 3
i. Principe de base : responsabilité quasi-délictuelle 3
ii. Conditions du succès du recours 3
iii. Effets du recours 3
2. Cas de l'action des participants liés contractuellement 3
3. Modalités d'exercice du recours à l'encontre de l'assureur du coauteur 3
B. Difficultés liées à la compétence juridictionnelle 3
1. Compétence du juge administratif pour statuer sur les litiges entre constructeurs en l'absence de contrat de droit privé les unissant 3
2. Cas du sous-traitant 3
C. Difficultés liées à la prescription 3
i. Prescription du recours avant la loi du 17 juin 2008 3
ii. Prescription du recours après la loi du 17 juin 2008 (article 1792-4-3 du Code civil) 3
II. Droit public 3
| § 2| Relations non-contractuelles du maître de l'ouvrage avec certains participants à l'acte de construction 3
I. Les relations sont délictuelles lorsque le marché ne s'est pas formé 3
II. Situations de quasi-contrat : enrichissement sans cause 3
A. Droit privé 3
B. Droit public 3
III. Les relations délictuelles du maître de l'ouvrage avec les cocontractants des locateurs d'ouvrage (sous-traitants, fabricants) 3
A. Le maître de l'ouvrage et les sous-traitants 3
1. Droit privé 3
2. Droit public 3
B. Le maître de l'ouvrage et les fournisseurs de l'entrepreneur (renvoi) 3
Section 2. Dommage survenu hors de l'aire contractuelle : l'action anciennement délictuelle de participants liés par contrat 3
| § 1| Le dommage corporel subi par le maître de l'ouvrage avant réception 3
| § 2| Le recours du maître de l'ouvrage sur l'action d'un tiers étranger à l'acte de construction (pour des dommages extérieurs à l'ouvrage notamment en cours de travaux) 3
I. La jurisprudence civile 3
A. Principe initial : recours toujours fondé sur le contrat 3
B. Recours parfois fondé sur la responsabilité délictuelle, notamment si la garantie décennale est expirée 3
C. Recours fondé sur la responsabilité délictuelle 3
D. Retour aux origines : le recours fondé sur le contrat 3
II. La jurisprudence administrative et le caractère contractuel du recours 3
III. Les stipulations contractuelles à propos des dommages causés aux tiers 3
A. Droit public 3
B. Droit privé 3
| § 3| Les limites de la notion d'aire contractuelle 3
| § 4| La responsabilité post-décennale des constructeurs pour dol 3
I. Droit privé 3
II. Droit public 3
PARTIE 5 : DROIT EUROPEEN 3
Chapitre 1. Échec des tentatives d'harmonisation européenne des régimes de responsabilités et de garanties dans le secteur de la construction 3
Chapitre 2. Pallier l'absence d'harmonisation par la levée des obstacles à la libre circulation des services 3
Section 1. Objectifs de la directive « services » 3
Section 2. Difficultés soulevées par la mise en oeuvre, en droit interne, des principes de la directive « services » 3
Chapitre 3. Incertitudes et inquiétudes nées du règlement « Rome I » 3
Section 1. Présentation générale 3
Section 2. Dispositif du règlement Rome I 3
I. Principe renouvelé d'autonomie de la volonté et limites 3
II. Dispositions auxquelles il ne peut être dérogé par accord 3
III. Exceptions d'ordre public 3
Section 3. Règles applicables en l'absence de choix 3
Section 4. Application de la loi française, à la lumière du règlement Rome I 3
I. Lois de police, l'exemple de la sous-traitance 3
II. Détermination de la loi applicable au marché de construction 3
III. Application de l'obligation d'assurance 3
PARTIE 6 : LES PIÈGES DU RÈGLEMENT DES LITIGES 3
Chapitre 1. « Marchés privés - marchés publics » 3
Section 1. Principes et précisions de langage. 3
Section 2. La notion juridique de marché de travaux publics avant la réforme de 2001. 3
Section 3. Solutions inchangées, sauf exception : les conventions de pur droit privé échappent à la compétence administrative 3
Section 4. Régime issu de la réforme de 2001. 3
Section 5. Aperçus sur les régimes issus du droit communautaire. 3
Chapitre 2. Pièges de la procédure civile 3
Section 1. Référés 3
| § 1| Introduction de la demande en référé 3
I. Principes généraux 3
II. Obligation de paiement préalable - à peine d'irrecevabilité - de la contribution de 35€ pour l'aide juridique 3
III. Conditions de mise en oeuvre de l'article 145 du code de procédure civile 3
IV. Mission de l'expert 3
V. Caducité de la désignation de l'expert 3
| § 2| Pouvoirs du juge des référés 3
| § 3| Effet interruptif ou suspensif de l'introduction d'une procédure en droit privé 3
Section 6 Procédure au fond 3
| § 1| Première instance 3
I. Nature de la demande : 3
II. Compétence : 3
III. Assignation 3
A. Modalités de rédaction de l'assignation (conservatoire ou non) 3
B. Dispense de versement de la contribution pour l'aide juridique 3
C. Difficultés liées à la dématérialisation des procédures 3
D. Respect obligatoire du principe de concentration des moyens 3
E. Intérêt et qualité à agir - Pouvoir ou habilitation de la personne morale demanderesse à l'action. 3
IV. Moyens de défense 3
V. Action récursoire 3
VI. Difficultés liées à la péremption de l'instance. 3
VII. L'autorité de la chose jugée n'a pas lieu, si les réfections ordonnées sont insuffisantes : 3
VIII. Autorité des ordonnances du magistrat de la mise en état 3
| § 2| Procédure d'appel 3
I. Difficultés liées à la nouvelle procédure d'appel 3
A. Le droit de péage de 150€ pour interjeter appel 3
B. Communication électronique et obligation ambiguë de simultanéité de signification des conclusions et de communication des pièces 3
C. Communication électronique et ambiguïté de la portée de l'obligation de signification aux parties défaillantes 3
D. Le piège du formatage obligatoire des écritures d'appel 3
II. Mises en cause intervenues pour la première fois en cause d'appel, 3
III. Demandes nouvelles en cause d'appel 3
IV. Autorité des ordonnances du conseiller de la mise en état 3
Chapitre 3. Pièges de la procédure administrative 3
Section 1. Référés 3
Section 2. Première instance 3
Section 3. Procédure d'appel 3
Section 4. Moyens soulevés d'office 3
Section 5. Rôle du juge de cassation 3
Chapitre 4. Pièges de l'expertise judiciaire 3
Section 1. Caractère facultatif de l'expertise 3
Section 7 La mission de l'expert n'est ni celle du juge, ni une maîtrise d'oeuvre 3
Section 8 Caractère exécutoire de la décision (portée) 3
Section 9 Nullités d'expertise 3
| § 1| Les principes du procès équitable s'appliquent à l'expertise 3
| § 2| Procédure en matière de nullité d'expertise 3
| § 3| Nullité d'expertise et principe de contradiction 3
| § 4| Principe d'exécution personnelle de la mission de l'expert 3
| § 5| Autres cas de nullité de l'expertise 3
| § 6| Responsabilité de l'expert 3
| § 7| Expertise et nullité en droit public 3
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