L’indemnisation des victimes d’accident a connu une profonde évolution, garantissant aujourd’hui une prise en compte quasi complète de tous les préjudices subis. Grâce à la jurisprudence et à la nomenclature Dintilhac, la réparation ne se limite plus aux seuls dommages physiques : pertes de revenus, assistance tierce personne, souffrances morales, préjudices d’agrément ou encore aménagement du domicile peuvent entrer dans le champ de l’indemnisation.
Que faut-il retenir ?
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Chaque situation est unique : l’indemnisation doit être personnalisée, selon l’âge, la profession, la vie familiale, et l’impact réel de l’accident.
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Les assureurs ont parfois tendance à sous-estimer certains préjudices, notamment les conséquences psychologiques ou la perte d’autonomie.
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Le recours à un avocat spécialisé en réparation du dommage corporel permet d’obtenir une évaluation complète et de défendre au mieux les droits de la victime.
Bon à savoir :
Même si tout n’est pas “automatiquement” indemnisé, la tendance actuelle est à une réparation la plus intégrale possible, dans l’intérêt de la victime.
Pour une présentation détaillée des différents postes de préjudices indemnisables et des exemples pratiques: lire l’article complet sur mermet-associes.com
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