La Cour de cassation confirme sa jurisprudence engagée par un arrêt du 13 avril 2016 (N°14-28.293) sur la nécessité pour le salarié de justifier de l'existence d'un préjudice.

Elle en fait une application à l'absence d'information sur la priorité de réembauche dans la lettre de licenciement pour motif économique.

Le salarié ne pourra demander réparation qu'à la condition de démontrer l'existence d'un préjudice résultant de l'absence d'information sur la priorité de réembauche.

Cass. SOC. 30.01.2019 N°17-27.796