La Cour de cassation rappelle qu'il appartient à l'employeur de veiller à la protection de la santé physique et mentale de ses salariés de sorte que le licenciement pour faute grave d'un salarié ayant proféré des insultes et fait preuve d'agressivité à plusieurs reprises à l'égard de ses collègues de travail est fondé.

L'employeur ne pouvait pas prendre le risque de voir se renouveler un tel comportement même pendant la durée du préavis (Cass. soc. 19 Janvier 2017 n° 15.24.603)