COUR DE CASSATION, 1e Chambre civile, 13 juillet 2016 (CASSATION)

N'ouvrent droit à remboursement que les dépenses extraordinaires, nécessaires et tellement urgentes que l'emprunteur n'a pas pu en prévenir le prêteur.

Toutes autres dépenses, y compris pour user de la chose, sont exclues de ce droit à répétition (ex. des améliorations).

https://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000032902133&fastReqId=250890130&fastPos=1